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Dépêche 82/01 

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Réunion DIRCOM du 2 mai 20001

Après la réunion du 23 avril, à laquelle seule la CFDT avait pu participer, le Dircom a réuni les fédérations et les syndicats de centrale le 2 mai. Il souhaitait leur faire part des décisions déjà annoncées aux personnels le 23 au matin.

M. Larrouturou a souligné les 3 caractéristiques de la Dircom :

Le Directeur a ensuite rappelé sa décision de réorganiser la Dircom autour de 7 pôles : réseau, éditorial, événementiel, prestations de service, stratégie, relations avec les media avec la création d’un porte parole, gestion. Pour le Directeur cette évolution nécessitera une mobilité dans les métiers pour les personnels et une mobilité tout court pour les cadres. Les textes fondamentaux régissant la Dircom seront modifiés d’ici la fin mai. Enfin, une deux personnes au sein de la Dircom seront désignées pour se mettre à l’écoute des agents.

Les fédérations ont posé la question des moyens dont disposera la Dircom. La CFDT s’est déclaré en accord avec l’affirmation claire d’une mission spécifique de la Dircom au niveau ministériel. Elle s’est, par contre inquiétée qu’on annonce des axes de réforme avant qu’un diagnostic concerté ait été élaboré avec les personnels et les organisations syndicales et a souhaité que l’avenir des Cicom soit mieux défini. La CFDT, prenant l’exemple de la direction du Trésor, a souligné l’intérêt du recours à une assistance externe pour recueillir les sentiments des personnels et aider la mise en œuvre des évolutions concernant les personnels. Enfin la CFDT a demandé qu’au sein du pôle gestion la GRH soit mise au premier rang et que tout ce qui pourrait concourir à son professionnalisme soit mis en œuvre.

Le Directeur a répondu en affirmant que « chaque agent a sa place à la Dircom » et que les malaises ne doivent pas se régler par des départs mais par les solutions apportées aux problèmes. S’agissant des moyens (budget et effectifs), il a déclaré n’avoir ni objectif ni calendrier. Le Directeur a déclaré s’écarter des propositions de l’IGF en demandant « plus et mieux » aux Cicom et aux Cricom. Enfin, il se refuse à faire appel à un consultant externe sur le diagnostic, considérant que les équipes ont assez travaillé sur elles même mais n’écarte pas définitivement cette idée pour une phase ultérieure.