Dépêche 87/01
Compte rendu du comité de coordination du 17/05/2001 et compte rendu du groupe de travail sur les tarifs des colonies de vacances.
Compte rendu du comité de coordination du 17/05/2001
Etaient abordés :
L’aide aux petites structures,
Le Crédit d’heure pour les associations de gestion des restaurants financiers,
Le problème des transports des colonies de vacances pour 2001.
L’aide aux petites structures : un document sous forme de protocole nous a été remis expliquant les modalités de l’aide aux petites structures qui sera déconcentrée à partir de 2003. Celui-ci sera signé entre la DPMA et chacune des directions à réseau. L’aide est pérennisée mais assortie d’un certain nombre de conditions : elle ne doit servir qu’à l’amélioration de la qualité et le maintien du prix du repas dans les tarifs de l’harmonisation tarifaire. Les conditions imposées servent à éliminer certains abus comme le paiement de suppléments (boissons ou apéritifs, ou dessert supplémentaire). Une obligation de faire appel à la concurrence pour le prestataire au moins tous les 5 ans est faite.
Le crédit d’heure pour les personnes gérant les restaurants administratifs.
L’accord est passé avec les administrations à réseau pour l’octroi de 5 heures par mois. Cela ne concerne que les restaurants financiers ; en ce qui concerne les RIA les administrations doivent faire la demande à la fonction publique. La formation est incluse dans les 5 jours.
Les transports pour les colonies de vacances 2001.
Pour le mois de juillet ils sont tous prévus mais pas de TGV : ce seront des trains corail avec un supplément de temps de 1 à 3 heures. Certains arrêts ont été supprimés. Il y aura des remplacements par des cars.
Pour le mois d’août il n’y a pas encore de réponse de la SNCF. Le retour de Perpignan ne peut actuellement être assuré. Paris-Vallorbe n’est pas encore prévu. EPAF prévoit éventuellement un transport par car.
En ce qui concerne les horaires ils n’ont pas été prévus dans le planning de la SNCF. EPAF espère avoir des indications 10 jours avant le départ.
Le calendrier des réunions.
La réunion sur le rapport Gaudillère sera prolongée par une deuxième séance le 29 mai au matin car aucun document n’a été envoyé pour les textes de 91 à ce jour. Le 21 seront abordés les sujets horizontaux, le 29 les sujets verticaux (restauration, logements, vacances etc.)
Le 27/6 Groupe de travail sur les textes de 91 sur la journée.
Le 3/07 CNASS avec le bilan de la restauration des Yvelines.
Le 27/9 Groupe de travail sur les textes de 91 le matin, utilisation de la prime de fidélité l’après-midi.
Le 3/10 Comité de coordination l’après-midi.
Le 12/10 Groupe de travail sur les CTR le matin, les personnels Berkany et Sapin l’après-midi.
Le 20/11 Bilan des colonies et du tourisme social le matin, Comité de coordination l’après-midi.
Le 22/11 CPL sur les personnels de délégation l’après-midi
Le 13/12 CNASS
Le 18/12 Groupe de travail sur la délégation de Paris l’après-midi.
Le groupe de travail sur la restauration aura lieu en janvier 2002.
Compte rendu du groupe de travail sur les tarifs des colonies de vacances.
L’ensemble des syndicats a refusé les augmentations. Seule la CFDT a demandé un effort particulier en faveurs des bas revenus. Dans cet esprits, elle a souhaité que les réductions de tarifs en pourcentage soient remplacées par des abattements par enfants.
Les arguments de l’administration sont la qualité du service offert et la poursuite de l’augmentation des prix dans un contexte de subventions constantes. Pourtant, l’administration ne résout pas le problème financier de l’EPAF. Une proposition de petits séjours supplémentaires pour les 4/9 ans a été faite, avec une option de régionalisation afin de ne pas avoir de longs transports pour cette tranche d’age. Accord des syndicats malgré un problème de paiement des transports pour les familles voulant dépasser la région.
Pour les séjours linguistiques un problème de quota a été évité en diminuant la tranche d’âge (elle passe de 9/17 à 12/17) et le nombre de semaine est passé de 6 à 9. Le contingentement est expliqué par le problème de la qualité de l’offre.
Pour les mêmes raisons que les colonies de vacances les augmentation de tarif du tourisme social ont été refusées par les syndicats.