Après deux groupes de travail nationaux avec les organisations syndicales, après les réunions internes préparatoires, après plusieurs séances de tir, l’administration vient, en catimini, d’abandonner le projet de remplacement des armes actuelles par les pistolets automatiques.
Il y a à peine deux mois, la DG nous disait que le remplacement était impératif vu le vieillissement de l’armement actuel et l’opportunité d’un marché groupé avec la police.
Cette volte-face inexpliquée signifierait-elle que l’administration a trouvé l’élixir de jouvence nécessaire à son armement ?